C'est en forgeant qu'on devient forgeron...

et c'est en gâchant du papier... Charles Gambier, peintre installé à Bénodet m'avait gentiment reçue dans son atelier-galerie et m'avait dit : "il faut gâcher du papier pour y arriver". Je vous recommande d'aller voir ses peintures qu'on connait grâce à leur diffusion sur cartes postales.

C'est en perséverant dans le lent apprentissage de l'aquarelle qu'on peut espérer produire quelque chose qui soit satisfaisant. C'est pourquoi en retrouvant ces aquarelles, j'ai eu l'idée de les mettre sur ce blog pour vous montrer qu'il ne faut pas se décourager et travailler, travailler...

Cette deuxième aquarelle est le souvenir que j'ai emporté de Morgate (un port du Finistère). C'était en 2005, il y a déjà 12 ans.

Et pour finir, une vue de Bordeaux peinte sur le motif. Tout est affreux : le dessin est bancal, les couleurs n'en parlons pas ; quant au sujet, on se demande où il est. Avec du recul, je me rends compte de ce qui manque ou qui ne va pas dans ces trois aquarelles, c'est un grand progrès de savoir formuler une critique sur son propre travail.

Alors, c'est en critiquant qu'on devient...quoi? Meilleurs aquarellistes? Je l'espère!